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Qatar MotoGP : Marquez : Rossi n’était pas un adversaire principal pour le titre ces dernières années

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Marc Marquez affirme que le se passera très bien de son ancien rival , alors que le MotoGP du Qatar de ce week-end marquera le début de la première saison de la catégorie reine sans le nonuple champion du monde depuis 2001.

Marquez, qui pourrait égaler Rossi avec neuf victoires en championnat du monde s’il remporte le titre en 2022 – ce qui signifierait également que les deux pilotes sont à égalité avec sept victoires en MotoGP – n’a pas mâché ses mots lorsqu’on l’a interrogé sur la première saison sans l’Italien.

Marquez a ajouté : « Je veux dire qu’il n’était pas l’un des principaux adversaires pour le titre. Ces dernières années, je cherchais les gars les plus rapides.

« Les gars les plus rapides étaient Pecco [Bagnaia], Quartararo et Joan [Mir] en 2020. Bien sûr, le MotoGP perd une icône, mais le MotoGP continue. Je pense que ce sera une belle saison ».

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Alors que le pilote du team Repsol ne sait pas si un défi à la victoire se présentera dimanche au Qatar, un circuit où il n’a gagné qu’une seule fois depuis qu’il a rejoint le MotoGP, la vision d’ensemble pour 2022 inclut la lutte pour le titre mondial.

C’est un objectif qui a été clairement défini sur deux fronts – le premier étant son retour en pleine forme, tandis que le second est dû au fait que Honda a apporté une RC213V beaucoup plus performante sur la base des résultats des tests de pré-saison.

« Bien sûr, pour 2022, je veux me battre pour le titre. Pour le GP du Qatar, je ne suis peut-être pas prêt, mais pendant le week-end, nous verrons où nous en sommes », a déclaré Marquez.

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« Honda a fait un grand pas avec la moto et honnêtement, j’ai l’impression d’avoir changé de marque parce que c’est une moto complètement différente.

« Depuis que je suis arrivé chez Honda, il y a toujours eu des améliorations mais le caractère de la moto et la façon de piloter étaient très similaires.

« Maintenant, c’est un grand changement. En Malaisie, j’ai eu un peu de mal, mais en un tour, j’ai senti le potentiel et le temps au tour arrivait.

« Ensuite, à Mandalika, j’ai déjà essayé d’adapter la moto à mon style de pilotage. Pendant les premières courses, nous allons trouver de petites choses, mais la base est bonne. »

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