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Cal Crutchlow : « Mentalement, je voulais rentrer à la maison, ma première année en MotoGP était gagnée ou perdue ».

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Les deux pilotes Yamaha ont montré un bon rythme lors des dernières courses, Crutchlow se battant souvent pour les points.

Bien que l’on puisse dire que Binder a été malchanceux de ne pas avoir une place en 2023 après avoir eu seulement un an pour faire le saut du Moto3, le Sud-Africain va descendre en Moto2 avec l’équipe Liqui Moly Husqvarna Intact GP.

Crutchlow, qui est également arrivé en dans des circonstances inhabituelles en 2011 après être passé du WorldSBK, connaît les défis qui se présentent lorsqu’on doit être performant tout de suite.

En fait, Crutchlow avait parfois besoin d’une pause, ce qui lui donnait envie de « rentrer à la maison ».

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« J’ai toujours dit dans ma carrière que j’avais de la chance », a ajouté Curtchlow. « J’étais au bon endroit au bon moment et j’ai pris les meilleures décisions. J’ai travaillé dur pour cela et puis ça a marché. »

« La devise de la première année en MotoGP était « gagner ou perdre ». Mentalement, parfois je voulais juste rentrer à la maison. Mais je me suis ressaisi et l’année suivante a été bonne. »

En parlant de son actuel coéquipier Binder, Crutchlow estime que son rythme a été meilleur que les positions habituellement occupées par l’ancien pilote de Moto3.

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Crutchlow pense que le rythme de Binder aurait été suffisant pour se battre pour les podiums il y a seulement trois ans, cependant, cela souligne également l’importance du saut que les équipes ont fait avec leurs machines actuelles en 2022.

« C’est tellement difficile en MotoGP parce que tout le monde est extrêmement rapide », a ajouté le Britannique. « Fabio Di Giannantonio, par exemple, est un bien meilleur pilote que ce qu’il montre ».

« Darryn est fort aussi. Avec les temps au tour que Darryn réalise, il aurait pu être sur le podium il y a trois ans. C’est la réalité et il vient du Moto3. »

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